Alors que les startup fleurissent comme des coquelicots dans les champs de l’hexagone à la chasse de financement pour la plupart, elles sont encore confrontées à une méfiance voir de la frigidité face aux investisseurs ou business Angel, pour lever des fonds.
Alors, si vous voulez créer une startup et que, comme la majorité des nouveaux startupers, vous n’avez pas encore remporté de prix ou vous n’avez pas eu la chance de passer par des incubateurs d’entreprises, le parcours pour réunir des fonds risque probablement d’être long voir impossible.
Startup, la chasse au financement, la principale activité!
Dans un domaine où la concurrence est forte et la sélection impitoyable, difficile de trouver grâce aux yeux des capitaux-risqueurs. De plus, il y a certains secteurs qui sont saturés et où les candidatures concurrentes foisonnent.
En outre, les investisseurs n’ont plus forcément l’envie ou le courage d’allouer des fonds à de jeunes entreprises, le risque dépasse le rendement. Dans son étude annuelle sur le capital-investissement, l’Association française des investisseurs pour la croissance (Afic) a souligné une régression. En 2014, les montants investis en capital innovation se sont élevés à 626 millions d’euros, soit une baisse de 2,5% par rapport à 2013. Pour le premier semestre 2015 la barre de 3,5 millions est franchie avec une prévision de 5,5 millions pour l’année.
Quand aux Business-Angels, difficile de compter sur eux lorsque l’on veut monter une startup Internet.
En effet, au deuxième semestre de 2014, leurs investissements se sont élevés à 12 millions d’euros, ce qui représente une chute de 24% par rapport au deuxième semestre de 2013.
Le Crowdfunding, l’autre alternative pour les startup à la chasse de financement.
Explosion du nombre de plateformes de financement participatif, titre le magazine lerevenu.com
Les plateformes de financement participatif connaissent un essor indéniable depuis 5 ans (la France en compte 60 pour 1000 dans le monde entier). Les sites de Crowdfunding français se sont emparés du marché et ont permis à ce jour, de financer plus de 100 millions d’euros de projets et se sont faits près de 800 000 adeptes par Internet. Le magazine Forbes estime qu’en 2020 le financement par Crowdfunding dans le monde atteindra les 1000 milliards de dollars.
Ce qui fait la force du crowdfunding pour les micro-investisseurs particuliers est la transparence du système et l’aisance de navigation.
De plus, les taux de rendement annuel restent plus élevés que les plans d’épargne classiques. Ce qui caractérise également les arguments du crowdfunding face aux établissements bancaires traditionnels. D’autre part, le caractère humain et solidaire du système crée un sentiment de proximité entre un projet et les internautes. Notamment, un autre facteur motivant pour les investisseurs particuliers.
Peu d’élus pour le nombre de dossiers traités.
Un rapport récent de Bannock,(Cordis Europa), indique que le nombre d’entreprises innovantes en France cherchant à renforcer leur fonds propres chaque année est d’environ 15 000, pour aboutir a 900 levées de fonds.
La demande de financement des petites PME est très largement supérieure à l’offre. Il en résulte que l’exercice de la levée de fonds n’est pas évident.
Les investisseurs détiennent tout le pouvoir et le choix parmi des centaines de projets proposés chaque année. Ils n’ont jamais d’inquiétudes de voir une opportunité mirobolante leur échapper.
Ils peuvent également, choisir des investissements plus rémunérateurs dans les Fonds d’Investissement et diversifier leurs placements.
[…] La société est maintenant sur le point de fusionner avec une banque existante et cette union constitue une étape importante en raison de l’accès à une plateforme bancaire. […]
[…] Business Angel […]
[…] le plus gros contrat Internet de la décennie. Pour 19 milliards de dollars Facebook rachète la startup WhatsApp en […]
[…] Lituanie s’est efforcée de devenir un pays très favorable aux start-up ces dernières années. En cinq ans le nombre de start-up actives étant passé de 80 a plus de 400 […]